Le format “journal” du blog fait que l’on parle plutôt d’un flux d’articles que d’un stock d’articles. Donc pour bien lire un blog, il faut lire son flux ! C’est justement ce que permet la technologie RSS.
Vous devez avoir :
- un lecteur de flux RSS
- des pages proposant des flux RSS (cas de tous les blogs)
Qu’est -ce que c’est ?
RSS signifie en anglais “Really Simple Syndication” soit traduit en français “Souscription vraiment simple” ou “Regroupement Simplement Simple”. En clair, cela signifie que vous pouvez lire le contenu d’un blog grâce à un lecteur de flux RSS qui se mettra à jour automatiquement dès qu’un article sera publié. Vous n’avez donc plus besoin de visiter régulièrement le blog pour savoir s’il y a du nouveau : votre lecteur vous le dira.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Rien de tel qu’un exemple pour bien
comprendre. Lorsque vous souhaitez suivre un blog et être informé des
nouveaux articles publiés, il faut s’abonner à son flux. Pour cela, il vous faut un lecteur. Les plus connus sont Google Reader, Bloglines, MyYahoo ou encore les français WebWag et Netvibes.
Nous allons utiliser le lecteur Netvibes.
Non, je ne fais pas de pub pour eux, mais comme c’est celui que
j’utilise tous les jours et comme j’ai eu la chance de rencontrer son
fondateur, Tariq Krim, je vous le recommande !
Si vous utilisez un bon navigateur (Firefox) ou même Internet Explorer 7, vous pouvez voir dans la barre d’adresse en haut d’un blog une icône généralement orange qui ressemble à ça, ou encore à ça. Cliquez simplement dessus. On vous propose ensuite de choisir votre lecteur. Sélectionnez Netvibes et validez. Le flux est ajouté à votre page Netvibes. Les articles que vous n’avez pas lus sont en gras et un chiffre entre parenthèses vous donne le nombre d’articles non lus.
Bien entendu, il est préférable de créer un compte et de vous identifier
afin de conserver les flux auxquels vous êtes abonnés. Vous verrez
alors que si vous commencez à suivre plusieurs blogs, le lecteur de flux
RSS deviendra indispensable. Surtout si comme moi, vous n’êtes jamais
rassasiés